RUES DE LA LIBERTE


2017/2018
Intervention dans l'espace public / Vidéo 4K et bande son.
Présentation par vidéoprojection en multiécran, adaptable selon le site et la situation.
Tournage réalisé à l'occasion de la résidence de création à Nice, sur l'invitation de l'Éclat et de Mathilde Roman (critique d'art et commissaire d'exposition), dans le cadre de la biennale Movimenta.


Rues de la liberté parcourt la ville de Nice avec une image projetée de la plaque de la « Rue de la Liberté » entre deux points topographiques liés par leur nom : la rue de la Liberté (quartier Jean- Medecin) et le pont de la Liberté (quartier Ariane). Au gré des rues, l'image se superpose aux réalités et matières différentes de la ville, les révèle par la lumière, les recadre, glisse d'une surface à l'autre, devient une sorte de guide du regard sur la peau urbaine, ses plis, ses signes et signaux, ses cicatrices, ses zones de sensibilité. Par la rencontre avec des lieux, des passants et des jeunes adultes issus de la PJJ (Protection judiciaire de la Jeunesse) qui participent au projet, l'oeuvre interroge les représentations personnelles et collectives de la liberté et de ses fractures, ses imaginaires et ses traces dans l'espace public de la ville, sur les architectures, mais aussi sur les corps, dans les mémoires.

 

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vidéogrammes

 

STREETS OF FREEDOM


2017/2018
Intervention in public space / Video 4K and sound.
Presentation by multi-screen video projection, adaptable according to the site and the situation.
Filming made during the creation residency in Nice, at the invitation of Éclat and Mathilde Roman (art critic and exhibition curator), as part of the biennial Movimenta.


Rues de la liberté crosses the city of Nice with a projected image of the "Rue de la Liberté" plaque between two topographic points linked by their name: rue de la Liberté (Jean-Medecin district) and the Liberty bridge (Ariane district). With the liking of the streets, the image is superimposed on the different realities and materials of the city, reveals them by light, crops them, glides from one surface to another, becomes a sort of guide of the look on the urban skin, its folds, its signs and signals, its scars, its areas of sensitivity.
By meeting with places, passers-by and young adults from the PJJ (Legal Protection of Youth) who participate in the project, the work questions the personal and collective representations of freedom and its fractures, its imaginations and its traces in the public space of the city, on the architectures, but also on the bodies, in memories.

 

 

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